La chiropratique

Chiropraticien à Lausanne, le Dr Yannick Pauli vous propose de découvrir la chiropratique, une approche médicale naturelle spécialisée dans la prévention, le traitement et la réhabilitation des troubles neuromusculosquelettiques et de leurs conséquences neurophysiologiques

Présentation de la chiropratique

Visionnez la présentation du Dr Yannick Pauli, chiropraticien à Lausanne

Sur cette page, le Dr Pauli vous propose:

  • Des informations pour les personnes qui cherchent un chiropraticien à Lausanne
  • Notre « Grand Guide Complet de la Chiropratique » pour tout savoir sur cette profession (bientôt disponible)

Département

Chiropratique

Cerveaux associés

Stressé, douloureux, traumatisé

Consulation

Consultations de chiropratique

Vous cherchez un chiropraticien à Lausanne

La chiropratique avec le Dr Pauli

Profession médicale universitaire, la chiropratique combine le diagnostic médical et les traitements manuels dans le but de soulager le patient et d’améliorer sa santé et sa qualité de vie.

En Suisse, la chiropratique fait partie des 5 professions médicales universitaires. Le chiropraticien ou la chiropraticienne peut donc être consulté directement en premier recours sans prescription médicale. Le chiropraticien peut prescrire des imageries médicales, des arrêts de travail, des thérapies complémentaires comme la physiothérapie et des moyens auxiliaires orthopédiques.

La chiropratique est prise en charge et remboursée par les assurances obligatoires (assurance de base LAMal, assurance accident LAA, assurance invalidité AI et assurance militaire AM).

Au Centre NeuroFit, notre département de chiropratique propose une prise en chiropratique holistique, spécialisée dans les états de tensions et de stress et dans l’accompagnement des syndromes douloureux chroniques de l’appareil locomoteur.

Nous proposons également une chiropratique orientée vers les troubles neurologiques fonctionnels.

Découvrez en plus sur cette profession médicale holistique et manuelle grâce à notre « Grand Guide Complet de la Chiropratique » ci- dessous.

Quand consulter et pourquoi choisir la chiropratique

Lorsque vous avez mal au dos ou que vous développez des troubles de l’appareil locomoteur qui touchent votre colonne vertébrale, vos articulations ou vos muscles, le système de soin vous offrent toute une panoplie de méthodes, des plus naturelles comme la chiropratique aux plus invasives, comme les procédures chirurgicales, en passant par les approches médicamenteuses.

La chiropratique est indiquée et traite avec efficacité les divers syndromes douloureux de l’appareil locomoteur, comme les problèmes de dos et les hernies discales ou des articulations périphériques, que ces douleurs soient aiguës ou chroniques.

La chiropratique est également indiquée en prévention sous forme de check-up complet et de suivi d’optimalisation de la fonction et de la santé.

Vous trouverez plus d’informations sur quand et pourquoi consulter dans notre Grand Guide Complet de la Chiropratique ci-dessous.

La chiropratique est le premier choix pour les personnes qui désirent non seulement une approche naturelle de traitement, mais ont envie d’une prise en charge globale effectuée par un clinicien de formation universitaire faisant partie des professions médicales qui pose un diagnostic médical tout en travaillant ensuite naturellement par des techniques manuelles. En plus de sa formation chiropratique, le Dr Pauli apporte son savoir-faire diagnostic en matière de neurologie fonctionnelle et de médecine fonctionnelle.

La chiropratique est également le bon choix pour les personnes qui désirent bénéficier du même interlocuteur pour le diagnostic et le traitement. À l’inverse de l’approche médicale où le médecin pose le diagnostic et délègue ensuite le traitement au physiothérapeute, le chiropraticien a la responsabilité de l’ensemble de votre prise en charge, du diagnostic au traitement. La prise en charge peut donc être rapidement adaptée à vos progrès.

La chiropratique, pour qui ?

La chiropratique s’adresse à toutes les personnes qui désirent une prise en charge naturelle et holistique, respectueuse des capacités innées de l’organisme à se guérir et ceci, peu importe votre âge, du nourrisson au senior, du sédentaire de canapé au sportif d’élite, de la petite dame frêle et ostéoporotique au déménageur spécialisé dans les pianos, le chiropraticien adapte sa pratique et ses techniques à chaque individu.

Le patient le plus jeune du Dr Pauli est un bébé fraîchement né par voie basse contrôlé dans la minute après l’accouchement et son patient le plus âgé une « jeune » centenaire de 103 ans. Un jour, hasard des consultations, nous avons même organisé une course chronométrée de longueur de couloir entre un petit bonhomme de 15 mois qui marchait depuis quelques semaines et une Senior de 98 ans !

La manipulation vertébrale avec craquement n’est qu’une des nombreuses variétés de techniques manuelles utilisées en chiropratique. Le Dr Pauli adaptera donc les techniques utilisées à votre âge, votre corpulence, votre diagnostic et vos préférences.

Les compétences du Dr Pauli

Choisir de consulter au département de chiropratique du Centre NeuroFit, c’est s’assurer des compétences suivantes :

  • Diagnostic médical et chiropratique
  • Vision holistique et globale
  • Diagnostic, suivi et bilan avec le même praticien
  • Possibilité de prescription d’imageries médicales (radiographies, échographies, IRM, scanner et scintigraphie vertébrale)
  • Possibilité de prescription d’examen de laboratoire
  • Possibilité de prescription de physiothérapie
  • Possibilité de prescription de moyens auxiliaires orthopédiques (attelles, minerves, ceintures de soutien lombaire, semelles orthopédiques, …)
  • Préparation d’arrêt de travail ou de rapport AI
  • Prescription d’exercices de réhabilitation et de supplémentation et conseils alimentaires, d’ergonomie et de gestion du stress.

 

Déroulement de la prise en charge

La prise en charge chiropratique commence toujours par une anamnèse complète qui précise l’historique de la problématique ainsi qu’une vue d’ensemble de la santé du patient et de son contexte familial, professionnel et social. L’anamnèse est suivie par un examen clinique complet qui peut varier en fonction de la problématique, mais inclut généralement des tests musculaires, posturaux et de palpation des différents tissus, orthopédiques et neurologiques. Sur la base des informations obtenues, le chiropraticien pose un diagnostic médical et chiropratique et propose la prise en charge au patient.

Au Centre NeuroFit, au vu des diverses formations du Dr Pauli, nous vous proposons une prise en charge holistique dont le processus peut être découvert en plus de détails ici.

 

Modalités et remboursement

Les consultations et les prestations associées au Département de Chiropratique font partie des prestations obligatoirement couvertes par la LaMal (assurance de base), la LAA (assurance accident), l’AI (assurance invalidité) et l’AM (assurance militaire).

Vous devrez présenter votre carte d’assuré et, en cas d’accident, votre numéro de sinistre.

Vous pouvez donc nous consulter sans passer par votre médecin et votre caisse maladie prendra les frais en charge sous le régime du tiers payant.

Il se peut que vous soyez également envoyé par votre médecin ou spécialiste. Comme eux, le chiropraticien est un professionnel de premier contact qui est légalement responsable de son diagnostic et de sa prise en charge. Au contraire de la physiothérapie, la chiropratique n’est pas « prescrite ». C’est le chiropraticien qui pose son diagnostic et qui détermine le type et le nombre de traitement en fonction de la situation clinique.

Les factures sont envoyées de manière électronique directement à votre assurance. Bien évidemment, comme pour toutes les autres prestations de l’assurance de base, vous devez assumer la franchise et la participation au frais prévue par la loi.

Attention cependant aux modèles alternatifs auxquels vous auriez volontairement souscrit et qui changent les prestations. Si vous avez souscrit à un modèle de type « médecin de famille », « réseau de santé / HMO » ou « télémédecine », vous devez impérativement contacter le médecin ou le service de télémédecine prévu dans votre contrat pour obtenir un bon de délégation.

Le Dr Yannick Pauli, chiropraticien à Lausanne

Grâce à sa formation universitaire en chiropratique et ses formations post-graduées en kinésiologie appliquée, en médecine fonctionnelle, en neurologie fonctionnelle et en médecine du corps-esprit et du style de vie, le Dr Yannick Pauli apporte une vision holistique et globale à sa prise en charge chiropratique. Sa passion et sa curiosité l’ont amené à développer un modèle de soin innovant des problèmes de dos et des programmes de soins spécialisés, notamment dans les problématiques de tension et de stress et les douleurs chroniques. Avec plus de 20 ans de pratique et près de 150’000 consultations sur 4 continents, et auteur de trois livres, le Dr Pauli met également son expérience au service du public grâce à sa chaîne éducative « Une Grande Vie » sur YouTube suivie par des milliers de personnes. Le Dr Pauli est membre de l’Association Suisse des Chiropraticiens et de l’Association des Chiropraticiens du Canton de Vaud.

 

Réservez un consultation en chiropratique au 021 646 52 38

La chiropratique

 La chiropratique est une profession du domaine de la santé spécialisée dans la restauration, le maintien et l’optimalisation de la santé et de la qualité de vie. Sa pratique met l’accent sur la relation entre la structure du corps – et en particulier le squelette axial (bassin, colonne et crâne) – et la fonction du système nerveux – et comment cette relation affecte, pour le meilleur ou pour le pire – la santé humaine.

La chiropratique n’utilise ni médicament, ni chirurgie, et met un accent tout particulier sur la correction des subluxations vertébrales, permettant ainsi au corps de mobiliser ses propres ressources de guérison.

La chiropratique est officiellement née le 18 Septembre 1895 aux Etats-Unis, lorsque le Dr. Daniel David Palmer donna son premier ajustement à Harvey Lilard.

Harvey Lilard avait perdu l’ouïe 17 ans auparavant lors d’un accident. En examinant sa colonne vertébrale, le Dr. Palmer découvrit une vertèbre plus proéminente que les autres. Il émis alors l’hypothèse que cette vertèbre dysfonctionnelle pouvait bien parasiter le fonctionnement du système nerveux et être la cause de la surdité. Avec l’accord de son patient, le Dr. Palmer “ajusta” la vertèbre pour restaurer la fonction neurologique. Harvey Lilard récupéra l’ouïe.(?)

Ainsi été née la chiropratique. Le 18 Septembre 1895.

Pour le profane, il est souvent surprenant d’apprendre et parfois difficile à comprendre comment un traitement manuel de la nuque peut améliorer l’audition. C’est pourtant neurophysiologiquement tout a fait explicable et une étude clinique a même montré que les ajustements chiropratiques amélioraient l’audition.

Dans ces premières années d’existence, la chiropratique, malgré ses excellents résultats cliniques s’est développée très lentement. Son utilisation s’est accélérée de manière exponentielle pendant la pandémie de grippe de 1917 à 1918. Les chiropraticiens avaient pu observer que leur traitement favorisait la résistance immunitaire. Des statistiques américaines ont montré qu’un patient sur quinze qui recevait des soins médicaux décédait une fois infecté, alors que les patients en soins chiropratiques déploraient une victime sur 866 personnes infectées. Pas étonnant que le bouche à oreille ait explosé !

Le succès des chiropraticiens a par contre eu un revers de la médaille. La médecine classique ne voyait pas d’un bon œil cette compétition et dans la première moitié du siècle, des milliers de chiropraticiens ont été condamnés pour pratique illégale de la médecine et des centaines d’entre eux ont terminé en prison.

Cette tension avec la médecine s’est maintenue jusqu’à en 1987, date à laquelle, suite à un procès intenté par plusieurs chiropraticiens, l’Association Médicale Américaine a été reconnue coupable de tentative, pendant près d’un siècle, d’élimination de la profession chiropratique. Le procès avait mis en lumière que cette association faîtière des médecins avait interdit à ses membres de référrer des patients à des chiropraticiens.

Aujourd’hui, en Suisse, la formation de chiropraticien se fait à la chaire de Médecine de l’Université de Zurich. Les temps ont bien changés ! La Suisse a d’ailleurs toujours été en avance en matière d’intégration de la Chiropratique. En 1939, Zurich fut la première jurisdiction en dehors de Etats-Unis à autoriser la pratique de la chiropratique. En 1964 en Suisse, sur référendum, la chiropratique est devenue l’une des cinq professions médicales.

La chiropratique – du grec « pratiquer avec les mains »  – est  est une profession de la santé qui est à la fois un art, une science et une philosophie.

Art
La détection des « subluxations vertébrales » et la capacité à effectuer un ajustement chiropratique spécifique permettant de les corriger forment les bases fondamentales de l’art de la chiropratique.

Bien qu’en observant un chiropraticien vous pourriez admirer l’aisance avec laquelle il ou elle travaille, l’art de la détection et de la correction des subluxations vertébrales n’est pas une mince affaire. Cet un art qui nécessite des années d’étude, de pratique et d’observation. De même, l’ajustement chiropratique est une procédure qui demande une grande dextérité qui ne s’acquiert qu’au travers de longues années d’étude et de pratique. C’est cette expérience qui garantit un traitement efficace et sûr.

A cela s’ajoute l’art du savoir-être du chiropraticien. Sa capacité d’empathie pour la personne qui souffre et sa capacité à  décoder les signes du corps-esprit et les remettre le contexte plus global de la vie physique, mentale, émotionnelle, sociale et professionnelle de la personne en font un métier qui attire des praticiens ayant un fort intérêt et respect pour la personne humaine.

Science

La chiropratique comprend, et surtout apprécie de manière particulière et subtile, le rôle essentiel que joue le système nerveux humain dans la santé de l’organisme dans son entier.

En tant que chef d’orchestre du corps, le système nerveux coordonne et contrôle toutes les fonctions de l’organisme. Toute interférence ou parasitage qui perturbe le bon fonctionnement du système nerveux va l’empêcher d’assurer une bonne communication entre les cellules, les tissus et les organes du corps, compromettant ainsi la santé de tout notre organisme.

Une fois que le bon fonctionnement de notre système nerveux est parasité, la capacité de notre corps à se maintenir en bonne santé est compromise et l’individu devient plus susceptible aux blessures et à la maladie.

En corrigeant les interférences qui parasitent le bon fonctionnement du système nerveux, le chiropraticien permet à ce dernier de reprendre le contrôle de la fonction de chaque cellule, tissu et organe du corps. Quand le système nerveux fonctionne de manière optimale, notre organisme est capable de mobiliser ses propres ressources de guérison contre n’importe quelle maladie et de maintenir un état de santé optimal.

L’ajustement chiropratique est l’élément-clé dans la correction des « subluxation vertébrales » et d’autres distorsions vertébrales qui provoquent des douleurs et qui parasitent le système nerveux.

L’efficacité et la sûreté de la chiropratique dans le traitement de nombreux problèmes de santé et dans l’amélioration du bien-être et de la qualité de vie ont été établies par de nombreuses études scientifiques.

Philosophie

La chiropratique a une philosophie de la santé et de la guérison qui est différente de l’approche médicale classique. La chiropratique voit le vivant d’une autre manière, plus naturelle et plus respectueuse des lois biologiques de la vie.

Les chiropraticiens approchent la santé de manière « holistique ». Même si un individu consulte pour un problème de santé, le chiropraticien ou la chiropraticienne garde toujours à l’esprit que le plus important n’est pas le problème lui-même, mais bien l’individu dans lequel le problème s’exprime. En d’autres termes, les chiropraticiens évaluent chaque patient dans sa globalité et en tant qu’individu unique.

Les chiropraticiennes savent que le corps possède sa propre capacité à se guérir et que, dans la plupart des cas, cette capacité innée d’auto-guérison permet à l’organisme de maintenir sa santé ou de se guérir. Le chiropraticien n’ajoute donc rien au corps (comme le ferait un médicament), ni ne retire rien du corps (comme le ferait une chirurgie).

Il reconnaît que seule la nature peut guérir et que son travail est d’aider l’organisme à mobiliser ses propres ressources de guérison. Pour mettre toute les chances du côté du patient, le chiropraticien a la possibilité d’effectuer un diagnostic complet et d’apporter un panel de compétences multiples, comme la nutrition, la gestion du stress, ou encore la réhabilitation.

Le chiropraticien reconnaît également que le patient n’est pas coupé de son environnement et que sont état de santé actuel est souvent la conséquence de petite erreurs de jugement répétées dans le temps.

Le chiropraticien aide donc son patient à prendre conscience des ces petites erreurs et à les corriger, optimalisant ainsi le style de vie et le bien-être, ce qui potentialise encore plus les capacités de guérison de notre corps et de notre esprit.

Parce que l’approche chiropratique met un accent particulier sur la colonne vertébrale, de nombreuses personnes en concluent – faussement d’ailleurs – que la chiropratique ne traite que les problèmes de dos ou de nuque.

Bien qu’elle soit extrêmement efficace pour ces problèmes, l’objectif de la chiropratique est bien plus étendu que cela.

L’objectif de la chiropratique est de restaurer et d’améliorer la santé globale de l’individu en restaurant et maintenant le bon fonctionnement de son système nerveux, le système qui coordonne et contrôle toutes les autres fonctions du corps.

En restaurant le bon fonctionnement du système nerveux et en aidant son patient à restaurer un style de vie sain et une bonne hygiène de vie, le chiropraticien ou la chiropraticienne favorise les capacités innées de l’organisme à se guérir par lui-même.

Les patients qui débutent des soins chiropratiques le font souvent initialement pour des problèmes de dos ou d’autres symptômes neuromusculosquelettiques. Ils sont souvent plaisamment surpris de constater que leurs soins sont pleins d’effets secondaires … très positifs comme une meilleure mobilité, plus d’énergie, un meilleur sommeil ou encore une meilleure digestion.

Comme vous le savez certainement, le cerveau est l’organe le plus important de l’organisme. C’est lui qui dirige et contrôle tous les autres organes et systèmes du corps. C’est un peu le chef d’orchestre de l’organisme. Il coordonne et orchestre toutes les fonctions cellulaires de l’être humain.

Pour communiquer avec le reste du corps, le cerveau envoie des messages le long de la moelle épinière et du reste du système nerveux. Tant que les messages du cerveau circulent librement, l’organisme fonctionne optimalement.

La colonne vertébrale protège la moelle épinière qui passe en son sein. Elle joue donc un rôle fondamental dans la protection de la moelle épinière, cette autoroute de communication entre le cerveau et le reste du corps. Mais là où une colonne vertébrale en bonne santé protège la moelle épinière, un colonne mécaniquement malsaine – qu’il s’agisse de blocages vertébraux, de tensions, de perte d’alignement des vertèbres – va avoir un effet néfaste sur le système nerveux et va perturber la bonne communication entre le cerveau et le reste du corps, ce qui peut donner lieu à de nombreux et divers problèmes de santé.

Lorsqu’une vertèbre se bloque ou perd de sa mobilité, toute une série de changements s’installent localement et globalement. L’articulation s’enflamme et devient douloureuse, l’intégrité du cartilage articulaire ou des disques intervértébraux est compromise, s’usant plus rapidement,  et la musculature, les fascias et les tissus mous adjacents se contractent et dysfonctionnement. Mais le pire est bien ce qui se passe au niveau neurologique. Le système nerveux est littéralement bombardé d’informations nocives qui stimulent les voies de la douleur. Une articulaire saine envoie environ 2’000 messages par minutes. Une articulation dysfonctionnelle (« subluxée » dans le jargon chiropratique) en envoie 30’000. Le système nerveux est littéralement débordé. Malheureusement, sur la base des principes de neuroplasticité, le système nerveux apprend. Ce bombardement neurologique crée littéralement de nouvelles connections neurologiques qui sont maladaptives et peuvent ouvrir la porte aux douleurs chroniques et à de nombreuses autres dysfonctions métaboliques.

Les chiropraticiens appellent ces problèmes mécaniques et leurs conséquences neurophysiologiques des « subluxations vertébrales ». Une « subluxation vertébrale » n’est pas une simple contracture musculaire ou blocage articulaire. C’est un ensemble de changement vertébraux locaux qui donnent lieu à des conséquences neurophysiologiques globales.

Une « subluxation vertébrale » est un parasitage du système nerveux dû à la perte d’alignement ou de mouvement des os du bassin, de la colonne vertébrale et du crâne, ainsi qu’à l’accumulation de tensions physiques, chimiques ou émotionnelles dans la système nerveux.

En diagnostiquant et corrigeant les « subluxations vertébrales », le chiropraticien restaure le bon fonctionnement du système nerveux et, donc, la communication entre le cerveau et le reste du corps. Cela permet à l’organisme de mobiliser ses propres ressources de guérison et de se guérir par lui-même.

C’est cette relation entre la colonne vertébrale et le système nerveux qui permet d’expliquer les nombreux bénéfices des soins chiropratiques qui vont bien au-delà du dos.

En tant que professionnel de la santé qui fait partie des cinq professions médicales suisses, le chiropraticien apporte plusieurs compétences à ses patients :
Double diagnostic
En tant que professionnel médical, spécialisé dans les thérapies manuelles, le chiropraticen effectue un double diagnostic.
Dans un premier temps, au travers d’une anamnèse et d’un examen clinique approfondi et complet, il va effectuer un diagnostic médical pour s’assurer que le problème pour lequel le patient consulte ne soit pas dû à une pathologie qui nécessiterait une prise en charge médicale. Pour ce faire, le chiropraticien peut prescrire des examens radiologiques et d’imagerie ainsi que des examens de laboratoire.
Dans un deuxième temps, il va effectuer un diagnostic chiropratique qui permet de mettre en évidence la présence de subluxations vertébrales. Il en détermine la sévérité, le degré avec lequel elles parasitent le système nerveux, et si elles peuvent être tenues pour responsable ou jouer un rôle dans le problème de santé du patient. L’examen permettra également d’apprécier les différents facteurs qui participent à la création de ces « subluxations vertébrales ».
Un plan de traitement individualisé

Une fois le double diagnostic effectué, le chiropraticien prépare un programme de soin unique aux besoins de l’individu; programme qui lui permettra de corriger ou d’atténuer les « subluxations vertébrales » de la manière la plus sûre et la plus économe possible afin de permettre au corps de relancer ses propres mécanismes de guérison.
Une collaboration interdisciplinaire étroite
Lorsque cela est nécessaire le chiropraticien ou la chiropraticienne travaille en collaboration étroite avec le médecin traitant ou d’autres spécialistes, tels que physiothérapeutes, orthopédistes, rhumatologues ou chirurgiens. Le chiropraticien peut prescrire directement de la physiothérapie.
Des compétences pour une bonne santé
Le chiropraticien éduque également son patient sur les causes des « subluxations vertébrales » et propose de modifier le style de vie pour éviter leurs récurrences. Il informe également le patient sur l’importance d’un maintien régulier de la colonne vertébrale et du système nerveux et sur l’importance d’une bonne hygiène neuro-vertébrale. Le chiropraticien conseille régulièrement ses patients en matière d’alimentation, de mouvement et d’activité physique, de posture et d’ergonomie, d’hygiène du sommeil et de gestion du stress.

Le chiropraticien a plusieurs rôles à jouer dans la santé de ses patients…
Dans un premier temps, au travers d’une anamnèse et d’un examen clinique approfondis, il s’assure que le problème pour lequel le patient vient le consulter ne soit pas dû à une pathologie qui nécessiterait une prise en charge médicale.

Cela fait, le chiropraticien examine son patient pour la présence de subluxations vertébrales. Il en détermine la sévérité, le degré avec lequel elles parasitent le système nerveux, et si elles peuvent être tenues pour responsable ou jouer un rôle dans le problème du patient.

De là, le chiropraticien prépare un programme de soin unique aux besoins de l’individu; programme qui lui permettra de corriger ou d’atténuer les subluxations vertébrales de la manière la plus sûre et la plus économe possible.

Le chiropraticien éduque également son patient sur les causes des subluxations vertébrales et propose de modifier le style de vie pour éviter leurs récurrences. Il informe également le patient sur l’importance d’un maintien régulier de la colonne vertébrale et du système nerveux et sur l’importance d’une bonne hygiène neuro-vertébrale.

C’est une question qui nous est souvent posée. Il existe plusieurs différences fondamentales entre ces deux types de praticiens.

Mais avant d’y répondre, il est important de préciser que chaque praticien, dans sa profession, développe un savoir-être et un  savoir-faire qui lui est propre. Nous pourrions donc trouver un chiropraticien et un ostéopathe dont les approches sont similaires, comme nous pourrions trouver un chiropraticien et un ostéopathe que tout sépare.

Il revient donc à chaque individu de trouver le praticien (et non nécessairement la profession) qui lui convient le mieux.

Cela étant dit, il existe un certain nombre de différences fondamentales qui peuvent favoriser le choix de la chiropratique.

1. Au niveau de la formation

Au niveau mondial, les chiropraticiens possèdent tous la même formation de base. Tous les chiropraticiens ont donc le même niveau minimal d’éducation. La formation du chiropraticien est de type universitaire, se fait à temps complet et comprend environ 4800 heures. Le titre de chiropraticien est protégé dans le monde entier.

En Suisse, le chiropraticien est considéré légalement comme l’équivalent d’un médecin dans sa spécialité. Il peut prescrire des examens radiologiques et d’imagerie, des examens de laboratoire, et des arrêts de travail. Il a la responsabilité diagnostique et thérapeutique de son patient.

En allant chez le chiropraticien, vous êtes donc assurés d’un niveau minimal standard qui est le même partout dans le monde.

Le niveau de l’ostéopathie varie énormément selon la situation géographique. Aux Etats-Unis par exemple, l’ostéopathe est un médecin. Il peut prescrire des médicaments et faire de la chirurgie. Un nombre très restreints de médecins ostéopathes américains utilisent la manipulation (environ 6%).

En Suisse, la formation est également variable. Un ostéopathe peut avoir reçu une formation à temps complet d’environ 3500 heures, comme il peut avoir reçu une éducation à temps partiel de 1200 heures environ (c’est par exemple le cas de nombreux physiothérapeutes qui se sont formés à l’ostéopathie).

Le titre « ostéopathie » n’étant pour le moment pas protégé, certaines formations laissent à désirer. Par exemple, une école de naturopathie de la place Lausannoise offre un cours d’ « ostéopathie » de 156 heures.

En allant chez un ostéopathe, vous n’êtes pas assurés d’un niveau minimal standard. Il vous faut donc vous renseigner auprès du praticien. Ce praticien ne pourra pas vous envoyer faire d’imagerie ou d’examens de laboratoire.

P.S. Ces comparaisons ne sont en aucun cas un jugement de valeur quant aux compétences et au savoir-être du praticien que vous consultez.

2. Au niveau de l’approche

Traditionnellement, la chiropratique a mis l’accent sur l’état de santé de la colonne vertébrale et des autres articulations du corps et leur impact sur le système nerveux.

L’ostéopathie a plutôt mis l’accent sur le bon mouvement des tissus du corps et sur leur impact sur la circulation sanguine.

Le chiropraticien met essentiellement l’accent sur le bon fonctionnement du système nerveux au travers de la prise en charge des subluxations vertébrales. Son objectif principal est donc d’améliorer la bonne communication entre le cerveau et le reste du corps.

L’ostéopathe a pour objectif de restaurer le bon mouvement des tissus du corps pour lui permettre de mieux fonctionner.

3. Au niveau du remboursement

La chiropratique fait partie de l’assurance maladie de base. Le patient peut donc consulter son chiropraticien sans passer par son médecin et se faire rembourser comme chez son médecin.

L’ostéopathe a un statut différent du chiropraticien, et les soins sont en général pris en charge par l’assurance complémentaire.

Quelques mythes à corriger

« Les chiropraticiens utilisent une « manipulation » violente alors que les ostéopathes sont doux »

Dans ce mythe, l’on se réfère à la manipulation provoquant un « craquement », manipulation qui a parfois mauvaise publicité. De nombreux patients ayant été traité par des ostéopathes sont souvent étonnés de la douceur de la manipulation chiropratique – plus correctement appelé « ajustement vertébral ». Cela est dû à l’extrême précision et spécificité de cet acte.

De plus, il existe près de 300 techniques différentes en chiropratique, dont seules quelques unes provoquent un « craquement ». Le chiropraticien adapte toujours sa technique en fonction des besoins et de la morphologie du patient. Si vous avez entendu une quelconque rumeur – souvent propagée par des personnes mal informées ou mal intentionnées – n’hésitez pas à en parler à votre chiropraticien.

« Je croyais que seuls les ostéopathes traitaient les enfants »

Et bien non ! De nombreux chiropraticiens prennent régulièrement soin d’enfants. Il existe même en chiropratique une formation postgraduée en chiropratique pédiatrique.


Avec sa formation médicale universitaire, en Suisse, le chiropraticien est considéré comme un membre à part entière des professionnels de la santé. La chiropratique fait partie des cinq professions médicales qui sont remboursées par l’assurance de base.

Son titre lui confère un statut équivalent à celui d’un médecin spécialisé dans son domaine.

Le statut légal du chiropraticien lui permet :

  • D’avoir la responsabilité complète du diagnostic et de la prise en charge de son patient
  • De recevoir directement le patient (c’est-à-dire que le patient peut consulter un chiropraticien sans devoir passer par son médecin)
  • De prescrire des examens radiologiques et d’imagerie (IRM, scanner, scintigraphie vertébrale)
  • De prescrire des examens de laboratoires
  • De prescrire de la physiothérapie
  • De préparer des certificats d’arrêt de travail
  • D’être remboursé par l’assurance maladie, accident, militaire et invalidité (AI)
  • En Suisse, le chiropraticien est également habilité à prescrire des médicaments



Les bénéfices des soins chiropratiques sont bien trop nombreux pour être tous décrits ici. Je vous en parle en plus de détail dans mon livre « La Chiropratique – une approche naturelle de la santé de votre dos » que vous pouvez téléchargez gratuitement sur cette page.

J’aimerais cependant vous en présenter quelques uns des plus fréquents.

Dans une étude de 2009 sur 99 patients souffrant de maux de nuque et traités par la chiropratique, la majorité des patients ont eu une amélioration marquée de leur douleur et une réduction notoire de l’handicap fonctionnel associé aux douleurs. 96% des patients étaient « très satisfaits » ou « satisfaits » des soins et 98% ont dit qu’ils recourreraient à nouveau à des soins chiropratiques en cas de besoin.

Dans une étude de 12 semaines sur 272 patients souffrant de douleurs cervicales, les soins manuels étaient plus efficaces à court terme et à long terme (une année) que les médicaments.

Dans une étude de 2003 publiée dans la prestigieuse revue scientifique British Medical Journal, 183 patients qui souffraient de douleurs cervicales ont été divisés en trois groupes. Le premier groupe a reçu des soins manuels, le deuxième de la physiothérapie et le troisième des soins médicaux standards (médicaments). Après une année de suivi, les chercheurs ont découverts que la thérapie manuelle était plus efficace que la physiothérapie et les soins médicaux et qu’elle avait coûté seulement un tiers des deux autres types de soin.

Dans une étude de 2005, près de 3’000 patients souffrant de problèmes de dos chroniques ont été suivi pendant 2 ans, en comparant ceux qui étaient suivis par un chiropraticien et ceux qui étaient suivi par un médecin. 56% des patients chiropratiques ont vu leur condition améliorée ou très améliorée, alors que seul 13% des patients médicaux avaient une telle amélioration.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2786244/

https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/0003-4819-156-1-201201030-00002?aimhp=&

https://www.bmj.com/content/326/7395/911

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16226622/

Personne n’aime devoir prendre des médicaments et la chiropratique est une solution idéale pour résoudre vos problèmes de dos de manière naturelle.

Comme nous l’avons vu ci-dessus, plusieurs études montrent que les soins chiropratiques sont plus efficaces que les médicaments pour traiter les problèmes de dos et les problèmes de nuque.

En vous évitant de prendre des antidouleurs ou des anti-inflammatoires, les soins chiropratiques vous apportent de nombreux bénéfices :

  • Vous ne traitez pas seulement les symptômes comme le font les médicaments, vous améliorez également la fonction de vos tissus.
  • Vous évitez les nombreux effets gastro-intestinaux, hépatiques, rénaux et cardiovaculaires des anti-inflammatoires et des anti-douleurs
  • Vos tissus guérissent en bonne condition, plusieurs études ayant montré que les anti-inflammatoires ralentissaient la guérison des tendons, des muscles et des ligaments et les fragilisaient.
  • Vous évitez de transformer l’inflammation aigue en micro-inflammation chronique. Des études montrent que si les médicaments anti-inflammatoires réduisent l’intensité de l’inflammation, ils interfèrent avec sa résolution complète.


Une étude a montré que les manipulations cervicales – qui ont parfois mauvaise presse – sont en fait très sûres, bien plus sûr que les anti-inflammatoires et cela par un ordre de grandeur de plusieurs centaines de fois !

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/8583176/

Trois études ont montré que les patients qui souffraient de douleurs de dos et qui recevaient des soins chiropratiques en plus de leurs soins médicaux avaient deux fois moins de probabilité de devoir prendre des médiaments opioïdes que les patients qui ne recevaient que des soins médicaux

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32142140/

 

Les soins chiropratiques sont la meilleur option que vous avez pour éviter les infiltrations, voire même la chirurgie en cas d’hernie discale.

Une étude a montré que la manipulation vertébrale améliore 80% des patients et permet une réduction significative de l’hernie discale chez 63% des patients. La manipulation vertébrale améliore à la fois les patients souffrant d’une hernie discale aigue ou chronique. 81% des patients avec une hernie discale chronique sont améliorés à 3 mois et 89% à un an

(PMID : 8976479)
(PMID : 24636109)

Dans une autre étude effectuée sur des patients traités pendant au moins trois moins et n’ayant pas été améliorés par des mesures conservatives comme les médicaments, la modification du style de vie, la physiothérapie, les massages et/ou l’acuponcture, et qui devaient donc finalement être opérés, l’ajout de soins chiropratiques a permis d’éviter la chirurgie dans 60% des cas.

(PMID : 21036279)

Dans une étude comparative sur les hernies discales lombaires confirmées par IRM, la manipulation apporte un soulagement dans 76.5% des cas pour un coût par cas de 533 CHF alors que les infiltrations ne soulagent que 62.7% des cas pour un coût par cas de 697 francs
(PMID : 23706678).

La différence est encore plus marquée dans les hernies cervicales où la manipulation soulage dans 86.5% des cas contre seulement 49% des cas pour les infiltrations

(PMID : 27040033)

En fait, se faire prendre en charge par un ou une chiropraticienne est le meilleur moyen d’éviter de vous faire opérer, de reprendre le travail rapidement et d’être satisfait de votre prise en charge. En effet, dans une étude effectuée sur les personnes qui s’étaient blessées sur leur lieu de travail, la probabilité de devoir être opéré dans les 3 ans suivants était de 42.7% pour les personnes qui étaient allées voir un médecin alors qu’elle n’était que de 1.5% pour les personnes qui étaient allé voir un chiropraticien en premier. Les patients chiropratiques avaient également moins de risque de finir en invalidité prolongée.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4258106/

 

Les études sont émergentes dans ce domaine, mais deux études effectuées chez les rats montrent que les manipulations chiropratiques par instrument amélioraient la structure osseuse et réduit la progression de l’arthrose tout en améliorant l’intégrité des cartilages. Ce qui est sûr, c’est que la chiropratique améliore la mobilité articulaire.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7413258/

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/28755011/

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/1564406/

Il n’y a pas d’âge pour bénéficier des soins chiropratiques. Le patient le plus jeune que j’ai eu est ma propre fille dont j’ai eu le bonheur de pouvoir contrôler la colonne vertébrale quelques secondes après sa naissance alors qu’elle avait encore le cordon ombilical qui la reliait à se mère. Cela, c’est un bon départ dans la vie. Ma patiente la plus âgée à 102 ans !

Les soins chiropratiques réguliers sont très certainement le secret le mieux gardé de la planètre en matière d’avantage santé à tous les âges.

Une étude publiée en 1989 a comparé la santé de 200 enfants de chiropraticiens qui se faisaient ajuster régulièrement à la santé de 200 enfants de médecins qui ne recevaient pas de soins chiropratiques. Les enfants chiropratiques avaient moins d’infections de l’enfance, moins d’otites, moins d’allergies, moins d’amygdalite et avaient moins beoin d’antibiotiques que les enfants médicaux.

A l’opposé du spectre, une étude a suivi 311 patients âgés de 65 ans qui avaient reçu des soins chiropratiques d’entretient – en général une fois par mois – pendant au moins 5 ans. Comparé à des citoyens moyens du même âge, les patients chiropratiques avaient 69% de frais médicaux en moins et allaient deux fois moins chez le médecin. Leur santé était globalement meilleure et ils utilisaient nettement moins de médicaments. 95.8% d’entre-eux pensaient que les soins chiropratiques étaient d’une valeur « considérable » ou « extrêmement considérable ».

Dans une autre étude basée sur l’analyse des statistiques d’une grande assurance américaine, les patients de plus de 75 ans qui suivaient régulièrement des soins chiropratiques étaient en meilleure santé, moins hospitalisés et utilisaient moins de médicaments que ceux qui ne recevaient pas de soins chiropratiques.

https://chiro.org/Conditions/Comparative_Study_of_the_Health_Status.shtml

https://www.jmptonline.org/article/S0161-4754(00)90108-8/pdf

https://chiro.org/Conditions/Chiropractic_Patients_in_Comprehensive.shtml

Aux Etats-Unis, la grande majorité des équipes professionnelles ont un chiropraticien dans leur staff médical. Et pour cause, la chiropratique permet de traiter naturellement les blessures, mais aussi de les prévenir et d’améliorer la performance.

Par exemple, dans une étude, les soins chiropratiques d’athlètes asymptomatiques a permis d’améliorer la force musculaire et la détente lors de saut, tout en réduisant la pression sanguine et le rythme cardiaque.

https://www.semanticscholar.org/paper/Athletic-Performance-and-Physiological-Measures-in-Schwartzbauer-Kolber/fbeb317d14b9006eaef8e30bdd4d2d261fa20e37

Dans la section sur l’historique de la chiropratique, j’ai expliqué que le premier patient traité par le Dr Palmer était une personne qui avait perdu l’ouïe à la suite du chute et qui l’avais récupéré à la suite du traitement. Pour le profane, cela peut paraître étonnant, voir incroyable. Mais c’est tout à fait neurologiquement explicable.

Comme je le disais, une étude clinique portant sur 15 patients ayant un léger déficit auditif a montré que les soins chiropratiques amélioraient, voire restauraient dans certains cas l’audition.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1395318/

"La chiropratique" par Dr Yannick Pauli

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Méthodes diagnostiques

Examen manuel palpatoire

Examen "high touch", les mains entraînées permettent une palpation fine et un diagnostic des différents tissus du corps.

Testing musculaire

Examen "high touch", le testing musculaire évalue la réaction du système musculaire à différentes formes de stimulations sensorielles, permettant ainsi de mettre en évidence différents types de déséquilibres physiques, chimiques ou émotionnels

Analyse posturale

Examen "high touch", l'analyse posturale permet d'évaluer la statique générale de l'organisme, le degré de posture de défense, l'équilibre statique et les différentes zones neurologiques impliquées dans le maintien postural.

Electromyographie paravertébrale de surface

Examen high tech destiné à évaluer le degré de tension et de stress accumulé dans le système nerveux.

Traitements et services

Network Spinal Analysis

Une technique douce destinée à relâcher les tensions profondes accumulées dans le système nerveux.

Ajustements chiropratiques mécaniques

Ajustements chiropratiques mécaniques précis avec craquement pour débloquer les articulations

Ajustements chiropratiques par instrument

Ajustements chiropratiques mécaniques précis avec craquement pour débloquer les articulations

Thérapies myofaciales

Travail neuromusculaire pour détendre la musculature ou restaurer sa fonction.

Travail crânien et mâchoire

Le travail crânien et de la mâchoire permet de corriger les dysfonctions crâniennes, de la mâchoire et du système stomatognathique.

Blocs S.O.T

Les blocs S.O.T. issu de la "technique sacro-occipitale" permettent de corriger des dysfonctions spécifiques du bassin et d'améliorer la fonction du système méningé sacro-occipital.

Technique de Webster

La technique de Webster est une approche spécifique permettant d'améliorer la fonction mécanique du bassin et de l'abdomen pour faciliter un bon repositionnement des bébés en siège.

Réhabilitation du dos

La réhabilitation du dos permet d'améliorer la fonction de votre colonne vertébrale par des exercices actifs.

Hygiène neuro-vertébrale

L'équivalent du brossage des dents pour votre dos, l'hygiène neuro-vertébrale permet de maintenir un dos et une colonne vertébrale en bonne santé.

Programmes associées

Le programme du dos

Programme de réhabilitation de la fonction neuro-vertébrale et d'enseignement de l'hygiène vertébrale

Programme du stress

Programme de réduction du stress et d'amélioration de la résilience par l'activation de la réponse de relaxation et le changement de perception.

Cures associées

Cure anti-inflammatoire

Cure pour réduire l'inflammation de manière naturelle

Cure musculaire relaxante

Cure pour détendre la musculature et les tensions dans le système nerveux

Problèmes traités

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  • Arthrose cervical
  • Céphalées tensionnelles
  • Coup du lapin (whiplash)
  • Douleurs cervicales (cervicalgies)
  • Douleurs des trapèzes
  • Hernie discale cervicale
  • Radiculopathies cervicales
  • Sténose cervicale
  • Syndrome du défilé thoracique
  • Tensions cervicales
  • Tête en avant (forward head posture)
  • Torticollis
  • Vertige cervicogène

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  • Arthrose dorsale
  • Douleurs dorsales (dorsalgies)
  • Douleurs intercostales
  • Hernie discale dorsale
  • Maladie de Scheuermann’s
  • Tensions dorsales

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  • Arthrose lombaire
  • Canal lombaire étroit
  • Coccigodynie
  • Déviation du bassin
  • Douleurs au coccyx
  • Douleurs lombaires (lombalgies)
  • Douleurs sacro-iliaques
  • Douleurs au sacrum
  • Hernie discale lombaire
  • Lombalgies (douleurs lombaires)
  • Radiculopathie lombaire
  • Sciatique
  • Spondylolisthésis lombaire
  • Syndrome du piriforme (pyramidal)
  • Tensions lombaires

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  • Arthrose de la mâchoire
  • Blocages de la mâchoire
  • Bruxisme
  • Douleurs mâchoires
  • Luxation du ménisque

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  • Blessures
  • Douleurs de croissance
  • Mal de dos de l’enfant
  • Mauvaise posture
  • Scoliose
  • Syndrome de Sever
  • Syndrome d’Osgood-Schlatter
  • Torticolis

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  • Bébé en siège (Technique de Webster)
  • Douleurs de la symphyse pubienne
  • Mal de dos de la grossesse
  • Mal de dos post-partum
  • Méralgie paresthétique
  • Prévention / réduction du temps d’accouchement
  • Prévention – contrôle du nouveau-né
  • Sciatique de la grossesse
  • Syndrome du tunnel carpien

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  • Blessures sportives
  • Entretient et prévention des blessures
  • Optimalisation de la performance sportive

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  • Anatomie de l’épaule
  • Arthrose de l’épaule
  • Arthrose acromio-claviculaire
  • Boursite sous-acromio-claviculaire
  • Capsulite rétractile (épaule gelée)
  • Conflit acromio-claviculaire
  • Déchirure du labrum
  • Douleurs d’épaule
  • Epaule gelée (capsulite rétractile)
  • Instabilité de l’épaule
  • Lésion de la coiffe des rotateurs
  • Syndrome impigement
  • Tendinite
  • Tendinite du biceps
  • Tendinite calcifiante

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  • Anatomie du coude
  • Arthrose du coude
  • Douleurs au coude
  • Epicondylite (tennis elbow)
  • Epitrochléite (golfer elbow)
  • Golfer elbow (épitrochléite)
  • Syndrome du tunnel cubital
  • Tennis elbow (épicondylite)

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  • Anatomie du poignet
  • Arthrose du poignet
  • Douleur au poignet
  • Tendinite de deQuervain
  • Tendinite du poignet

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  • Anatomie de la main
  • Arthrose de la main
  • Arthrose du pouce (rhizarthrose)
  • Contracture de Dupuytren
  • Douleur à la main
  • Rhizarthose (arthrose du pouce)
  • Syndrome du canal de Guyon
  • Syndrome du tunnel carpien

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  • Anatomie de la hanche
  • Arthrose de la hanche (coxarthrose)
  • Boursite trochantérienne
  • Conflit acétabulo-fémoral
  • Coxarthrose (arthrose de la hanche)
  • Déchirure du labrum
  • Douleur de hanche

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  • Anatomie du genou
  • Arthrose du genou (gonarthrose)
  • Déchirure des ligaments
  • Déchirures des ligaments croisés
  • Déchirure du ménisque
  • Douleur au genou
  • Tendinite de la patte d’oie
  • Tendinite du genou
  • Tendinite patellaire

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  • Anatomie de la cheville
  • Arthrose de la cheville
  • Douleurs à la cheville
  • Entorse de la cheville

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  • Anatomie du pied
  • Arthrose du pied
  • Douleur au pied
  • Fascite plantaire
  • Syndrome du tunnel tarsien
  • Tendinite du talon d’Achille

Ressources éducatives

Articles

Anatomie vertébrale
Hygiène neurovertébrale

Vidéos

La chiropratique expliquée
Consultation chiropratique