Protocole d’optimalisation des fonctions réparatrices du sommeil
Pour un sommeil réparateur
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Département
Médecine fonctionnelle, médecine intégrative transformative
Consulation
Médecine fonctionnelle, médecine intégrative transformative
Raison d'être
Le Protocole GOMINAK est une approche clinique visant à améliorer les fonctions de réparation et de guérison de l’organisme qui ont lieu pendant la phase de sommeil profond.
La découverte
La Dre Stasha Gominak est une neurologue américaine des plus classiques. Elle ne débordait pas du cadre de la médecine moderne et prescrivait uniquement des médicaments à ses patients qui venaient la voir pour divers troubles neurologiques.
Puis un jour, une patiente qu’elle suivait et qui souffrait de migraines quotidiennes handicapantes a été diagnostiquée avec une apnée du sommeil et s’es vu prescrire une CPAP (un appareil nocturne qui améliore l’oxygénation du patient). En quelques semaines, ses migraines s’étaient quasiment complètement estompées.
La Dr Gominak s’est alors demandée si le fait d’améliorer le sommeil de ses autres patients migraineux pourraient également les aider. Elle a alors envoyé tous ses patients souffrant de migraines et de maux de tête chez un spécialiste du sommeil. Et les résultats l’ont étonnée: tous ses patients présentaient des dysfonctions de la phase profonde du sommeil, une phase où le corps se paralyse complètement.
Cette phase est une forme de « relaxation complète et profonde » de l’organisme qui lui permet de lancer ses processus de réparation et de guérison. Si une personne ne passe pas assez de temps dans la phase de sommeil profond – ou si celle-ci est perturbée – l’organisme ne peut pas se réparer et des symptômes apparaissent.
A la suite de cette première découverte, la Dr Gominak a commencé à envoyer ses autres patients présentant différents troubles neurologiques chez le spécialiste du sommeil et tous présentaient la même problématique.
La Dre Gominak s’est alors intéressé plus à l’importance du sommeil en étudiant sa physiologie et sa neurologie, notamment en étudiant le tronc cérébral qui contrôle le phénomène de paralysie de la phase de sommeil profond. Et elle s’est rendu compte que cette zone contenait énormément de récepteurs à la vitamine D. Elle s’est donc posée la question d’un lien et à commencer à doser cette vitamine chez tous ces patients. Résultats: ils étaient tous en carence!
La vitamine D et le sommeil
La Dre Gominak commence alors à supplémenter en vitamines D plus de 1000 patients qu’elle suivra pendant au moins 2 ans. Elle découvre que la majorité commence à mieux dormir dès que le patient peut maintenir un dosage sanguin de vitamine D entre 60 et 80 ng/mL. Et avec ce meilleur sommeil, de nombreux symptômes neurologiques chroniques et les douleurs commencent à s’améliorer. A ce stade, il est important de comprendre que la vitamine D est très mal nommée: ce n’est pas une vitamine, c’est une hormone.
Pas la seule carence
Avec ces améliorations, la Dre Gominak pense avoir fait une découverte clinique majeure. Mais, malheureusement, au terme de 2 ans, les bénéfices s’estompent et les symptômes neurologiques et les douleurs de ses patients réapparaissent. Puis par synchronicité, une patiente lui apporte un livre sur la vitamine B5 qu